» ENFANCE ;; Les apparences sont parfois trompeuses . . .
J’ai vécus mon enfance dans un quartier les plus riches de Londres. Bien habillé, bien élevé allant à une école le plus prestigieuses de Londres, voilà ce que j’étais. Mais derrière cette apparence de petit garçon qui vivait la vie parfaite et qui ne manquait de rien, se cachait toute une autre histoire . . . Dernier d’une famille qui comptait déjà 4 enfants, je fus toute suite mis à part. Pourquoi ? Je ne pourrais vous le dire puisque moi-même j’en ai aucune idée . . . M’enfin bon. Mon enfance a été très difficile. Devant m’occuper de moi-même sans l’aide de personne d’autres parce que mes parents ne me prêtaient pas beaucoup d’attention, je grandis dans la solitude ne me lien d’amitié avec personne en général. Je me rappelle que lorsque j’étais petit je dansais toujours. Même lorsque je marchais les gens croyaient que je dansais. Ceci à très vite faite honte à mes parents. Pour mieux dire, à ma famille au complet. Je ne sais pas pourquoi, pourtant je ne faisais rien de mal, je ne faisais que danser . . . Alors très vite mes parents m’obligèrent à arrêter ce cirque comme ils appelaient cela. J’arrêtais, pour un breff moment. Parce que lorsque la solitude se faisait trop forte en moi, je m’enfermais dans ma chambre, mettais de la musique et me laissais importer par elle en dansant. C’était ma seul façon de pouvoir m’exprime comme je le voulais réellement. Puis, un peu plus tard, je me passionnais pour l’art de la scène. Je trouvais que tout ces gens qui passaient à la télé’ étaient magnifique. Et aussi je rêvais du jour où je pourrais moi aussi incarner une autre personne, une personne complètement différente de la mienne. C’est un jour alors que j’étais à l’école que je me rendis compte qu’il y avait des cours de théâtre. Après quelque temps à réfléchir si je devais y aller ou non, je me décidais enfin à y aller. Je me rendis vite compte qu’il n’y avait très peu de garçon. Mais peu importe je voulais seulement essayer. Ouais, c’était ce que je m’étais dis. Je ne pensais pas que j’allais vite tomber amoureux du théâtre comme que j’étais tombé amoureux avec la danse. Breff, lors de mon premier cours, je devais incarner un garçon qui avait le cœur brisé. Après avoir dis mes répliques, je me trouvais attiré par le théâtre. Je m’étais fait dire que je jouais à merveille. Une nouvelle passion avait soudain surgit en moi : celle du théâtre. Mes parents m’offraient tout ce dont je voulais. Mais lorsque ce fus pour aller prendre des cours de théâtre, ils refusèrent. Pourquoi ? Cela aussi je ne sais pas pourquoi. Je n’ai jamais vraiment compris mes parents. Mais faut dire qu’ils étaient un peu blasés aussi . . . M’enfin, en breff, je ne comptais pas à leur yeux. Non, les autres enfants de la famille, mes frères, mes sœurs, comptaient plus que moi . . . Pourtant, c’était moi le bébé de la famille. Ils devaient s’occuper de moi et non des plus grands ! Mais bon, j’vais pas commencer à chialer sur des trucs qui sont passés il y a belle lurette. Breff, je dus donc m’abstenir de cours de théâtre et de danse. Ce fus assez difficile, je dois l’avouez. Mais il y avait toujours ma chambre où là, je pouvais m’exprimer comme je le voulais en dansant ou en faisant du théâtre. { Vraiment désolé de ce petit paragraphe. =S je n'avais pas vraiment d'idée parce que l'on me donnait très peu d'informations sur l'enfance de Kimmy. }

» ADOLESCENCE ;; L’humiliation est plus pire que le rejet.
C’est lorsque je rentrais au lycée que tout les problèmes commença réellement. J’avais exactement 13 ans lorsque pour la première fois, je connus l’humiliation. L’on m’humiliait à cause de mon corps. Là sont partit les problèmes que j’ai eu avec celui-ci. L’on m’humiliait parce que j’avais un corps de « Moineau et minime » comme tout le monde me disais. Oui., c’est peut-être vrai. Mais jamais je n’ai compris le plaisir que les gens se donnaient à me niaiser avec ça. Pourtant c’était mon corps et non le leur alors qu’est-ce que ça pouvait bien leur faire à eux !? M’enfin bon. Pendant une bonne partie de ma vie l’on me ridiculisait avec ça jusqu’au jour où je décidais enfin à ne plus me laisser marcher sur les pieds. Mais ça, c’est un peu plus tard. Breff, pour revenir à ce que je disais, c’est au Lycée que tous les problèmes ont commencé. J’ai toujours été de nature androgyne. Je me rappelle que l’on me niaisait en m’appelant Kimmy. Oui, c’est vrai que j’agissais quelques fois comme une fille. Mais était-ce de ma faute !? . . . Il y avait même des plus vieux qui me traitaient de « pédale ». Tout d’abord je n’avais aucune de ce que ce mot voulait dire je venais tout juste de rentrer dans le monde des grands comme tout le monde appelle ça. Puis, un soir, je suis allé questionner mon père avec ce mot. Il m’avait tout d’abord répondus ce souciant de rien mais quelques minutes plus tard, il était déjà debout devant moi, me demandant si quelqu’un m’avait traité de « pédale » Dans la famille, personne ne se faisaient traiter de la sorte. Nous étions des Artwood. Et les Artwood ne se laissaient pas traiter de la sorte. Et c’est aussi ce soir là que je mentis pour la première fois. J’avais été bien élevé, mentir à un de ses parents était impensable. Surtout dans ma famille. Pour mes parents, la famille comptait beaucoup. Ouais, c’est ce qu’ils disaient et moi alors ? Je ne faisais pas partis de la famille ? M’enfin bon. =.= Je lui avais mentis en lui disant que non, personne ne m’avais traité de cela mais que j’avais entendus ce mot dans les couloirs de l’école et que je voulais tout simplement savoir ce qu’il signifiait. Puis, j’étais retourné dans ma chambre en réfléchissant à ce que mon père m’avait dis : Une pédale était un homme qui était attiré par les hommes au lieu des femmes comme il serrait supposer l’être. Une pédale était un homme qui agissais comme une fille et//ou s’habillais comme celles-ci. Je ne comprenais pas pourquoi les gens de mon lycée m’appelaient comme ça. Pourtant je ne faisais rien de cela . . . Si ? Si oui, je ne m’en étais pas aperçue parce que pourtant je ressemblais à tous les garçons normaux de mon âge . . . Pendant deux ans je me fis humilier de la sorte. Mais j’avais quand même plein d’amis. Pourtant, j’aurais donné n’importe quoi pour être, à la place, un rejet et ne pas me faire humilier . . .

Le goût de la mort coule dans mes veines . . .
15 ans. Je crois que toute ma vie je vais me rappeler de mes 15 ans. C’est à 15 ans que l’événement le plus marquant de mon existence c’est produit. À 15 ans. Déjà depuis 13 ans je vivais l’humiliation par-dessus l’humiliation. J’en avais marre, certes, mais je ne pouvais rien faire de toute façon. Je ne cessais de me dire que c’était la vie. Que nous vivions dans un monde cruel, et c’est vrai. Pendant ces deux années d’humiliation, je m’étais créer une sorte de carapace sous laquelle je gardais tout : ma parole, mon opinion, mes passions, mon sourire, mes blagues, mon regard . . . Breff, tout. Je m’étais de plus en plus renfermé sur moi-même . . . Et ce n’était pas juste à cause de l’école. Parce que même si j’aurais changé d’école, à la maison aussi c’était rendu terrible presque insupportable. J’étais devenu comme un fantôme aux yeux de ma famille. Lorsque je parlais, j’avais l’impression de me parler à moi-même. L’on me répondait, certes, mais je pouvais sentir que je n’avais pas d’importance, que mes question n’avais pas d’importance. Je ne réagissais pas, étant habitué d’être mis de côté . . . Puis un jour, comme ça, j’arrêtais de manger. Je ne c’est pas pourquoi. Peut-être parce que j’étais tout simplement tanné de vivre se cauchemar à tout les jours autant au lycée qu’à la maison ? Ou peut-être que c’était ma façon de me rebeller après toute ces années passées ? Aucune idée . . . Breff, depuis déjà des semaines que je ne mangeais plus. J’étais devenu mince à en faire peur. Vous devez surement vous demandez pourquoi mes parents ne faisaient rien ? C’est pourtant normal non, quand vous êtes le fantôme de la famille. Ils ne se rendaient pas compte que je m’aigrissais à vue d’œil et que lorsque je mangeais j’allais me faire vomir dans les toilettes . . . Et pourtant, un jour je dépassais les limites que mon corps avait. Après un mois et demi à ne plus manger, alors que j’étais dans les toilettes et que je venais tout juste de me faire vomir, tout devint embrouillé autour de moi et le tournis me pris. Tout tournait et je ne voyais presque plus rien autour de moi. J’avais de la difficulté à me tenir debout. Je me tenais du mieux que je pouvais contre le mur mais je sentais mon corps glisser doucement vers le plancher froid de la salle de bain. Puis, le noir complet, je venais de perde conscience . . . À mon réveille, je me trouvais dans un lit d’hôpital. Je regardais autour de moi et fus énormément surpris de voir ma famille dans la chambre qui parlait avec le docteur. Des files étaient plantés dans mon corps dont un qui consistait à me nourrir avec de la nourriture en compote. Un haut le cœur me pris lorsque j’aperçue ce file et la bouffe en compote rentrer dans mon corps. Je voulu instinctivement l’enlever parce que vraiment ça me dégoutais. Je préférais manger normalement qu’avec ça ! =O Mais lorsque ma main allait retirer le file, la main du docteur m’en empêcha en serrant violemment la mienne. Je serrais systématiquement les dents pour ne pas crier de douleur. Non mais, c’était quoi son problème à lui ! Il était un docteur non !? Il n’était pas supposer me faire de mal mais bien du bien ! Quel con, vraiment . . . -___- Après qu’il aille enlever ma main du tuyau il me sourit et me dit d’une voix comme si j’étais encore un bébé de 2 ans qu’il ne fallait pas faire ça et que j’allais m’en sortir, qu’ils étaient là pour m’aider dans tout ça et tout le tralala. Non mais, me prenait-il pour un con ou quoi !? J’le savais bien qu’ils étaient là pour m’aider ! J’étais bien dans un hôpital, non ? M’enfin bon. En plus de me parler d’une voix de bébé à la con, il en rajoutant à me disant : mon petit ! OH LA ! Attende minute, toi ! J’ai bien 15 ans et non 4, bordel ! Si mes yeux auraient pu être des fusils, je l’aurais pulvérisé de la tête aux pieds celui-là ! Breff, après cette confrontation mental >.< je me rendis vite conte que je n’allais pas quitter cet hôpital de sitôt. Et ouais, je savais bien que mes parents avaient tramés quelque chose. Je n’étais pas dans un hôpital mais bien dans un centre pour ceux qui avaient des problèmes comme : la drogue, l’alcool, le suicide et l’anorexie. Okay, c’est vrai que j’aurais préférer rentrer à la maison le jour même mais je fus touché de voir que mes parents tenaient quand même à moi puisqu’ils m’avaient envoyé ici pour mon bien. Ouais ce ne fus que de courte durée que j’eu cette sensation d’être important à leur yeux parce que ouais, imaginez-vous que pendant toute mon séjour ici, ils ne sont même pas venu me voir une seule et unique fois ! Non, la seule fois qu’ils sont venu c’est lorsque le docteur leur a donnés la permission que je sorte. Et je suis sûr qu’il à du insister parce que je suis prêt à parier qu’ils m’auraient laissés ici volontiers. T.T M’enfin bon. Tout ça pour dire que je suis finalement rentré chez moi après des mois d’hospitalisation dans ce centre pour les cons. Cet événement m’a beaucoup marqué même si je ne l’ai jamais vraiment montré . . .

» ADOLESCENCE { suite } ;; Arrêter ce cauchemar, c’est tout ce que je veux . . .
Un an après ce terrible incident, j’avais alors 16 ans au passage x’D, je décidais que je n’allais plus être le petit garçon rejeté et humilier de tout le monde. Non, j’allais enfin rentrer dans un rang ! Et ouais, je m’étais mis cela en tête et à cause de ça je me suis mis à grandir trop vite ce qui ne m’aida pas pour entrer dans un certain rang qu’il y avait à mon lycée. ( Grandir mentalement là et non physiquement ! J’suis un humain, quand même ! >.< ) Ouais, alors malgré mon objectif d’entrer enfin dans un rang, je resta encore le petit garçon seul à s’occuper dans son coin à lui. Ma mentalité s’était grandement développée. J’avais de super bonne note à l’école et des rêves avaient commencé à se former dans ma petite tête de jeune adolescent. Encore à 16 ans, un autre événement vient bouleverser ma misérable vie. { Pourtant rien qu'un an après mon terrible incident d'anorexie . . . } Bheen quoi, faut bien l’avouez, j’ai pas une vie extraordinaire là . . . -_-‘’ À 16 ans, je découvris quelque chose de nouveau en moi : mon homosexualité. Okay, faut dire que je me suis quand même pas réveiller un matin et puis paff j’suis viré homo’ là . . . >.< Non-non, déjà depuis 14 ans je me surprenant parfois à regarder les beaux mecs passer devant moi. En premier je n’avais pas vraiment porté attention parce que tout le monde regardait tout le monde, nahh ? Mais à 15 ans j’ai commencé à plus me douter de mon orientation sexuelle . . . Non mais, comprenez. Lorsque c’est rendu que quand j’avais des cours de soccer et que lorsque c’était l’heure d’aller se doucher avec les autres gars de mon équipe, et que je matais leur beau corps de dieu. *O* comme un espèce d’obsédé sexuel, c’est que y’a un problème là . . . T.T Et puis, je l’est vraiment su à 16 ans parce que vous voyez, y’avais un mec qui venait toujours nous regarder jouer puis un jour, bheen, savez que ça me gêne de vous raconter ça, hen ! Alors pas de commentaires si je bégaye, bande d’anus ! >.< Bon pour continuer ce que je disais, un jour, bheen, il est venu me voir . . . Et puis il m’a embrassé, bon ! Vous êtes content, vous savez la vérité ! Bahh faut dire que ça me gêne pas vraiment vu qu’il était super canon. * Bave encore juste à y penser * M’enfin bon. Là n’est pas l’importance. L’importance est qu’après qu’il m’aille embrasser, j’ai aimé ça et je l’ai embrassé moi aussi . . . Non mais tséé, c’était comme dans la chanson de Katy Perry « I Kiss A Girl » mais version gars « I kiss a boy and I liked it » voyez le genre ? Bon bheen voilà. M’enfin, j’dois dire que dans ce temps là j’étais plus bisexuel à tendance gay, parce que j’matais encore un peu de fille lorsqu’elles avaient un de c’est corps ! *O* Mais plus que les mois avancèrent et plus que je virais totalement homo’. Ma première réaction fut d’avoir la frousse. Comment allais-je dire ça à mes parents qui déjà m’ignoraient totalement !? Mon dieu, des chances que ma mère aille une crise cardiaque ! =O Mais bon, fallait bien que j’leur dis un jour ou l’autre et mieux fallait aujourd’hui que demain, pas vrai ? Alors comme prévu le matin même, j’allais voir mes parents pour leur expliquer ma situation. Je m’étais pratiqué toute la veille à leur dire un discours qui leur expliquerait ce qui se passe. Mais comparer à ce que je m’étais préparer à dire, mon père parla en premier. Ce jour là, il m’a dis exactement ceci : « Je savais. Depuis le début je savais. Pas besoin d’être devin pour le savoir regarde-le, chérie ! C’est évident ! Il est gay. Notre fils est gay. Et bheen, jamais j’aurais cru que ça arriverait dans notre famille un truc pareil. Mais y’a toujours un début à tout, pas vrai ? » Puis il m’avait fait un clin d’œil. Ce matin là, je fus étrangement surpris que mes parents n’aient eus aucune réactions violentes envers moi pour mon homosexualité et que mon père m’ait même fait un clin d’œil signe de tendresse que je garderais toujours dans mon cœur.

Plus rien ne va être pareil, maintenant.
Mon père m’avait, certes, fait un clin d’œil, mais il restait quand même que j’étais toujours un fantôme dans la maison. Depuis 15 ans déjà j’avais pris des cours de danse et de théâtre en cachette parce que mes parents ne voulaient pas que j’en fasse. Mais lorsqu’ils on accepter mon homosexualité, je m’essayais à leur demander si je pourrais faire de la danse et du théâtre. Ils acceptèrent à mon grand étonnement. Pourquoi avaient-ils accepter ? Voilà la seule question que je ne cessais de me poser. Pourquoi maintenant alors que j’étais désormais âgé de 17 ans ? Pourquoi ? Peut-être parce que comme que j’étais gay et qu’ils le savaient ils croyaient que faire de la danse et du théâtre c’était plus pour les gay et les filles et que maintenant je pouvais en faire ? Ou peut-être avait-il juste complètement changés ? Aucune idée et j’ai pas vraiment envi de me casser la tête avec ça. Je continuais donc mes cours de danse et de théâtre mes cette fois-ci pas en cachette. La vie me sembla soudain plus agréable depuis que mes parents savaient que j’étais homo’ et que je pouvais enfin faire de la danse et du théâtre sans me cacher pour sortir le soir de mes cours. Cette sensation soudaine me donna soudain envi de ne plus me laisser marcher sur les pieds comme toutes les années passées. Et ouais, j’avais peut-être 17 ans, mais je me faisais toujours humilier. Mais aujourd’hui c’était fini. Plus jamais je n’allais revivre se cauchemar ! Non, plus jamais ! J’en avais trop souffert . . . Depuis ce jour, à chaque fois que quelqu’un me ridiculisait soit avec mon homosexualité ou mon apparence physique ou quoique ce soit, je ne me privais pas pour lui rendre l’appareil. J’ai agis comme ça pendant un an. Puis, plus personne ne me ridiculisais avec quoique ce soit. J’étais assez fier de moi parce que maintenant j’avais la vie tranquille même si à la maison rien n’avais changé. C’est aussi à cause de cet environnement étouffant que la maison avait adoptée y’a de cela des années déjà que je la quittais pour aller habiter dans un énorme loft à moi tout seul. Mes parents n’on pas vraiment réagit à mon départ. Mais je sais que ça leur à fait quand même de la peine. Ils m’on peut-être ignorer des années et des années, mais je les connaissais quand même assez bien pour savoir que lorsque mon père se frotte sans arrêt les mains ensemble ça veux dire qu’il n’est pas alaise et qu’il ne voudrait pas que ça se passe comme ça et que quand ma mère se ronge les ongles et se mort la lèvre inférieur en bougeant systématiquement les jambes, sa veux dire qu’elle a envi de pleurer. C’est choses les deux l’on fait. Je leur ai dit au revoir sans de regret. Je savais que j’allais les revoir de toute façon. Ma carapace que je m’étais formé pendant ces années d’humiliation, c’est très vite brisé laissant place à un nouveau Kimmy plus fort que jamais. ( mentalement, bien sûr. Non que je dis que j’suis pas fort physiquement, mais que . . . mais que c’est comme ça, bon ! >.< ) Et puis à 18 ans, un de mes rêve se réalisa enfin : celui de rentrer dans la Royal Holloway. Depuis, je crois que tout les rêves peuvent se réaliser si on fais l’effort qu’ils se réalisent.

» RELATIONS FAMILIALES ;; Comme vous avez pu le remarquer, les relations entre ma famille et moi ont jamais vraiment été parfaite. J’ai toujours été un fantôme pour eux. Je sais pas si c’était leur façon de me montrer qu’ils tenaient à moi ou . . . J’crois plus que c’est parce qu’ils avaient déjà quatre enfant et qu’un cinquième les décourageaient peut-être . . . Et aussi que peut-être j’étais un accident ? . . . M’enfin bon. Peu importe, l’importance c’est de savoir quelle sorte de liens j’entretenais avec ma famille, non ? Entre ma famille et moi ça toujours été raide comme lien. Je devais me débrouiller tout seul et ne pas les déranger pour une raison idiote qui était dans mon cas toujours . . . ( D’après eux . . . ) Puis plus tard, l’on commencèrent à plus se parler. Peut-être parce que c’était que j’avais déménager et qu’ils ne pouvaient nier que je leur manquaient même si ils m’on jamais démontrer une marque d’affection appart mon père lorsque je lui est dis que j’étais gay . . . Maintenant nous sommes plus proche qu’avant, certes, mais il reste toujours une petite gêne entre nous qui nous empêche de tout nous dire exactement.